On l’oublie très souvent: en Russie, 20% des sans-papiers sans-abris sont des femmes.
C’est vrai, on les voit moins, elles sont plus discrètes, elles se cachent. Nombre d’entre elles pensent être coupables de ne pas avoir été à la hauteur de leurs propres espoirs et des attentes de la société, épouses-mères-femmes au foyer.
Leur calvaire est bien plus pénible que celui des hommes.
En plus des terribles conditions de survie dans la rue, communes à toutes et à tous, ces femmes souffrent du manque cruel d’hygiène, des agressions physiques, sexuelles, morales. Nous nous employons particulièrement à les soutenir.

S’en sortir

Ces femmes qui ont survécu à la rue ont subi un choc émotionnel très important. Sans parler des atteintes physiques imposées par cet environnement néfaste. Elles ont besoin d’un encadrement propice pour remonter la pente. Nous nous en chargeons. Lire l’article

Ne plus subir

Pour les femmes sans-abris, la violence de la rue n’est pas un vain mot. Forte de cette constatation, nous avons décidé de leur offrir des cours d’autodéfense. Lire l’article

Leur santé, un droit

Le nouveau rapport de l’OMS analyse comment le lieu de naissance, le niveau de revenu et l’accès aux services publics déterminent plus de 50 % de la santé d’une personne. Les femmes ont de tout temps été les plus mal loties.
Vous imaginez celles qui survivent dans la rue? Nous en prenons soins. Lire article

En ces temps particulièrement complexes, nous luttons pour poursuivre toutes nos aides humanitaires.
Sans votre soutien nous n’y arriverons pas. Merci de nous permettre de le faire.
Important : malgré les embuches du boycott, nous arrivons toujours à transférer votre appui financier.