
10’800 jours apatride

Près de 30 ans sans papier, plaisante Vladimir, 63 ans bien marqués. Vous imaginez s’ils avaient voulu m’enrôler pour…
Lire la suite...Près de 30 ans sans papier, plaisante Vladimir, 63 ans bien marqués. Vous imaginez s’ils avaient voulu m’enrôler pour…
Lire la suite...Ils disent que pour les sans-abris, il est psychologiquement plus facile de mourir pour leur patrie que de survivre…
Lire la suite...J’enroule ma veste et m’allonge sur un banc tordu. Je me trouve sur le balcon du deuxième étage de…
Lire la suite...Parfois il se promène avec ce curieux chapeau de femme, je le trouve très bizarre. Ici à la gare Leningradsky,…
Lire la suite...On dirait qu’il a 60 ans, mais il en a 87. C’est très difficile de donner l’âge des sans-abris.…
Lire la suite...Arina est assise sur un banc, reposant sa tête sur l’épaule d’un type édenté. Arina a trouvé refuge dans…
Lire la suite...Grand-mère Nina se tient dans le couloir entre les toilettes des femmes et des hommes. Nina fume cigarette sur…
Lire la suite...Nous voilà dans les toilettes de la gare de Leningradsky où je rencontre Khadycha, cette sans-papier bien particulière, raconte…
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